Mère et Fils ! [PV : Cassiopée]

Sujet: Mère et Fils ! [PV : Cassiopée] Jeu 5 Mar - 18:55

Mère et fils

Hiruyio était renfermé dans sa chambre, lisant un livre d'enfants. C'était une encyclopédie sur les différents animaux qui peuplent la terre. Il était en train de lire quand il entendit sa mère l'appeler. Sa mère ... En fait elle ne l'est pas mais Hiruyio la considère comme sa mère. Je reprends donc où j'en étais : Cassiopée apelle Hiruyio :
"-Hiruyio, à table !
-Oui maman, j'arrive je finis ma page"
Il n'avait pas vraiment l'intention de manger, il n'avait pas faim. En plus il avait dit plusieurs fois à sa mère qu'il n'aimait pas manger de la "vraie" nourriture, qu'il voulait de l'herbe mais Cassiopée n'a jamais accepté qu'il mange de l'herbe étant, disait-elle, peu hygiénique.
Il était dans sa chambre, une jolie chambre. Il y avait un papier peint bleu, la couleur favorite de Hiruyio. Sa chambre était meublée d'un lit simple avec une couverture elle également simple. Il avait surtout une grande étagère sur le côté de la chambre remplie de livres, tellement de livres .... Hiruyio en fait, adore les livres, il aime lire on pourrait considérer ça comme sa passion mais il aime aussi les jeux-vidéos la télé et les choses normales. Il va à l'école normalement mais étant le week-end, il reste chez lui. A l'école il est perçu comme un monstre. Il n'a aucune ami, il est tout le temps seul à pleurer dans son coin, ces sales Ouroboros qui ont tué sa vie. Pour deux minables cornes, personne ne veut lui parler. Ses anciens amis ne l'approchent plus... Hiruyio est détesté de tous, un peu plus et les professeurs, même eux, détestent Hiruyio. Ahah ces simples humains... Incapables de respecter tout le monde. Ils nous parlent de la discrimination, comme quoi les gens qui ont la peau marron ils sont maltraités et insultés, mais personne ne parle d'Hiruyio, sur lui la discrimination ne s'applique pas... Pendant qu'Hiruyio était dans ses pensées il s'est passé à peu près cinq minutes et sa mère qui s'impatientait l'appela donc encore :
"-Hiruyio, allez dépêche toi un peu... Je sais que tu préférerais de l'herbe mais il n'y a pas tout les nutriments
-Je m'en fiche, j'ai pas faim, je veux ni viandes ni légumes ! Je veux de l'herbe ! C'est meilleur que ce que tu fais à manger ! Depuis que les gens pour qui tu travaille m'ont transformé, j'aime plus rien sauf l'herbe. J'aime plus rien d'autre. J'aime pas mes cornes, je les veux plus, je veux redevenir normal ! A l'école personne ne m'aime ! Personne ! Jamais personne viens me voir ! Je pleure toujours tout seul"
Il finit par pleurer ... Il fondit en larme, il en avait sérieusement marre de ses satanées cornes ...

Comment oublier ?

Trois mois. Trois mois s'étaient écoulés depuis que tu avais recueilli Hiruyio. Tu l'avais sauvé des mains d'Ouroboros, qui le retenait dans leur orphelinat. Comme quoi, c'était pratique d'être leur pantin, parfois. Pauvre garçon, tu avais eu un peu pitié de lui, quand tu l'avais vu seul, dans son coin... Il te ressemblait, un peu. Depuis que tu avais perdu Thrall, tu n'étais plus la même, tu n'étais plus que l'ombre de toi-même. Cependant, tu le cachais, parce que tu ne voulais point inquiéter ton fils. C'était étrange de l'entendre t'appeler maman, mais cela était loin de te déplaire. Tu aimais jouer ce rôle, lui donner de l'amour, parce que tu savais Ô combien cela était difficile d'avoir subi ses stupides expériences. Elles ne font que vous gâcher la vie.

Pendant que le bambin lisait paisiblement dans sa chambre, tu essayas une nouvelle fois de cuisiner. Tu étais novice dans le domaine, alors tu t’efforçais de suivre les recettes à la lettre. Tu voulais redonner le goût des bonnes choses à Hiruyio, depuis sa transformation, il ne mangeait plus que de l'herbe. Heureusement que tu n'étais pas pessimiste, sinon tu aurais jeté l'éponge depuis bien longtemps. Toutefois, tu étais sensible, et le voir grimacer en goûtant tes plats ne encourageait pas. Mais, tu prenais sur toi, comme d'habitude. Tu t'étais promis de ne jamais pleurer devant lui.

Dès que le repas fut prêt, tu l'appelas une fois, puis deux... Il n'arrivait toujours pas. Tu poussa un long soupir. C'était pour son bien que tu faisais tout ça pourtant... Tu haussas un peu le ton de ta voix, pas trop non plus, tu ne voulais pas lui faire peur. Toutefois, tu le regrettas bien vite. En effet, le pauvre garçon se mit à pleurer à chaude larmes, avant de déballer tous ce qu'il avait sur le cœur. Et toi, toi. Toi comme d'habitude tu n'avais rien remarqué. Encore une fois, tu baissas dans ton estime. Tss, qu'est-que tu pouvais être égoïste.

Tu te mordis la lèvre, afin de ne pas craquer à ton tour. Puis, tu te précipitas aux côtés de l'enfant, avant de le serrer contre ta poitrine :

- Excuse-moi mon chéri... Fis-tu, entre deux respirations bruyante. J-je... Je ne voulais pas te faire de mal...

Ces propos t'avaient fendu le cœur. Il était rejeté, à cause de sa différence. Stupidité humaine, décidément ils ne comprenaient rien. Monde insensé, irrationnel, où l'apparence prenait de plus en plus d'importance. Tout cela était bien stupide. Oh oui. Si seulement tu pouvais changer les choses. Car, l'apparence n'est pas tout, l’extérieur n'est rien. Ce qui compte, c'est l’intérieur, hein ? Toi, d'ailleurs, tu étais pourri de l'intérieur. Comme tu aurais voulu l'aider, faire changer les mentalités... Or, cela était au dessus de tes forces. Tu te contenta de leur bercer, tendrement :

- Hiruyio... Fait moi une promesse...

Tu le pris par les épaules, avant de plonger tes rubis dans les siens :

- Essaye de manger de la nourriture humaine, tu m'inquiète tu sais... Promet le moi !

Tu ébouriffas ces cheveux :

- Pour l'école je vais essayer d'arranger ça... Dans le pire des cas, c'est moi qui te ferait cours d'accord ?

Codage fait par Corpse²

Régime alimentaire

Sa mère était tout sauf méchante. Elle avait du mal à s'y prendre avec les enfants. Surtout avec Hiruyio ce jeune Newal cornu. En terme de nourriture, les plats de sa mère aurait été délicieux si il n'avait pas été transformé. Elle s'excuse, mais de quoi ? Avaitelle quelque chose à se reprocher ? Ça c'est le cas pour ces Ouroboros...
Tu as quelque chose à te reprocher, maman ? Toi, tu ne m'as pas fait de mal... Ce sont les Ouroboros qui m'ont blessé ! Tu m'as recueilli, alors ne t'en veux pas
Hiruyio alla se loger dans les bras de Cassiopée. Au final, ils se comprenait. Ils avait tout deux subit des transformations horribles. Ils n'avait pas obtenu le même don mais ils était semblables. Deux pantins.
Elle lui demanda de faire une promesse: Manger de la nourriture humaine. Elle savait qu'Hiruyio n'aimait pas ça, mais elle voulait son bien
Je t'en fais la promesse. J'essaierai d'en manger. Je n'aime pas ça mais si c'est pour te faire plaisir !
Hiruyio esquissa un bref sourire au moment ou il entendit "c'est moi qui te ferais cours". Ce serait tellelent bien ! Ça voudrait dire plus de problèmes avec ses anciens copains qui se moquent de lui !
Ensuite ils passèrent à table. Hiruyio mangea tant bien que mal la nourriture dans son assiette pour ne pas décevoir sa mère

COMMENT OUBLIER ?

Hiruyio était bien trop gentil avec toi. Tu ne méritais pas tant d'amour, tu étais un monstre après tout. Tu le forçais à manger des choses qu'il n'aimait pas, tu tuais d'innocentes personnes, accessoirement. Tu étais tout sauf une bonne mère pour lui. Tu baisas la tête, avant de te mordre la lèvre inférieure :

- Je suis tout, sauf une bonne mère pour toi Hiruyio. Moi aussi je suis une méchante tu sais, tu devrais me détester.

Tu tremblais un peu, te retenant de pleurer. Toutefois, lorsque le petit garçon vint se caler contre toi, tu ravalas tes sanglots. Tu savais à quel point il était difficile de se dire que tout irait bien après une transformation, que tout serait comme avant. Surtout que le bambin avait subit des modifications physiques :

- Alors vient à table, j'ai préparé un curry. C'est un plat japonais, c'est délicieux, j'adore ça !

Tu préférais largement le sucré. Mais il fallait tout de même se nourir convenablement. Une fois à table, ton fils adoptif fit la grimace après avoir goûté ton plat :

- J'essayerais de faire des plats à base de plante, tu crois que ça ira ?

Tu lui fis un petit sourire, avant de lui dire, d'une voix rassurante :

- Tu as fais un effort Hiruyio, je suis fière de toi. Et si on allait se promener pour fêter ça ? Ou veux-tu aller ?

Ce n'est qu'un masque Hiruyio. Profite en bien, car la personne que tu vois actuellement risque bientôt de se faire dévorer par le flot de ses émotions.

Codage fait par Corpse²

Mère et Fils

Des plats à base de plante pour un jeune garçon qui a muté et qui ne peut manger qu'à présent de l'herbe. Ça se tenait. Hiruyio esparait pouvoir avaler ça avec un peu plus de facilité. En tout cas le plat sera toujours meilleur que de l'herbe. Il le savait mais allait tout de même dehors pour manger son herbe, négligeant les plats cuisinés de sa mère, meilleurs pour sa santé.
Oui, je pense et j'espère ! Ce serait bien que je puisse manger autre chose que de l'herbe !
Toujours rempli d'entrain, Hiruyio ! Même dans des situations comme ça, il était heureux. Dire qu'il n'y a même pas dix minutes, il pleurait. Sa mère proposa de l'emmenet quelque part, ou il voulait.
Wouhou !! Si on allait chez Thrall ? Il est gentil... mais il me fait un peu peur. J'aimerai pouvoir ne plus avoir peur de lui. En fait, j'aimerais bien devenir un super-héro qui a peur de rien ! Comme dans mes livres ! Je ferais "Woosh ! C'est Hiruyio, le super-héros. Tatatatan !!" en plus ça rime avec mon nom !
S'imaginer des situations pareilles dans un monde aussi catastrophique... Restait plus que sa mère dise oui.

COMMENT OUBLIER ?

Voir Hiruyio sourire contribuait à ton bonheur. Apporter un peu de gaieté au pauvre petit garçon te remettait d'aplomb. C'était un peu pour te racheter aussi, tu te sentais mieux, tu ne rependais pas que le mal autour de toi. Tu embrassas le front de ton fils adoptif, avant de le laisser aller manger de l'herbe, contre ton gré, évidemment.

En ce moment, tu avais de drôles d'envies. Tu ne savais pas vraiment pourquoi elles te prenaient. Tu tricotais, une écharpe pour Thrall, un pull pour Hiru... Et maintenant, des chaussons pour bébé. A croire que tu en avais envie, aussi jeune. Mais, ce n'était malheureusement pas possible.

Le bambin voulait aller voir Thrall. Pourquoi pas ? Tu pourrais lui donner son écharpe, et manger quelques cannelés. Ces pâtisseries étaient délicieuses :

- C'est d'accord mon ange, allons-y. J'avais envie de le voir en plus.

Tu le câlinas un peu, avant de rire :

- Tu es mon super-héros à moi, Hiruyio. Grâce à toi je ne suis plus triste à l'idée d'habiter toute seule.

Tu marchas jusqu'au café de Thrall, sans lâcher la main de ton fils adoptif. Tu saluas ton amoureux avant de lui tendre le sac :

- Cadeau ! Il commence à faire froid, couvre toi bien !

Même Thrall avait le droit à ton côté maternel :

- Je prends un Cassiocolat et des cannelès, s'il te plaît. Et toi, Hiru, que veux-tu ?

je te propose de poster ta réponse dans le café De Thrall, qui se joint à nous ♥

Codage fait par Corpse²

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